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e-mail to BGen Eric Tremblay – RMCC commandant

Subject: Mount Kilimanjaro

I just wanted to send a quick note of praise.

I recently had the pleasure of meeting a group of RMC cadets while I was on holiday in Tanzania.

I spoke with them about the climb that they had planned, as well as the plan to go to Rwanda. They struck me as a particularly motivated, intelligent and keen group of young officers.

My wife and I summited about 20 minutes before they did, and we had the pleasure of congratulating them on their way to the top. Even after enduring all that they had, I was greeted with smiles and enthusiasm from all.

Their spirit, determination, and deportment on and off the mountain made me proud as a fellow Canadian and an ex-cadet.

Bravo Zulu to all.

20756 Brock D. Harrison

Lieutenant-Commander

The following journal entries are apart of a series which will offer day-to-day accounts of the RMCC Expedition Club’s recent 2011/12 Kilimanjaro Expedition to East Africa.

Day One 29 December 2011

25752 OCdt (III) Christopher Lane

Day One on the ground in Kenya.  There has been so much preparation, organization and hurdles to get to this point; there was no doubt that our first morning was a bit surreal.  Looking back now, however, all of the work was worth it just for this one day alone.

After grabbing a breakfast in downtown Nairobi and doing a bit of shopping for necessities at the local supermarket, it was time for us to embark on our first adventure: a guided tour of Kibera.  Kibera is the largest slum in Kenya and one of the biggest on the entire continent, with a population of one million people living within a few square kilometres.

We were met at our hotel by our wonderfully friendly tour guides, a group of four guys not much older than ourselves.  Their company, Kibera Tours, is the only touring business of the slum, serving as a part-time job for the guides.  Once we arrived in Kibera, it was clear that it was not at all what any of us had expected.  The scenery was as devastating as any BBC documentary suggested, but what the documentaries and stories on this famine-struck area did not show was the overwhelming atmosphere of happiness, for lack of a better word.  It was quite special to see such a massive group of people who had so little and lived in such terrible conditions, and yet were so delighted with life.  We were greeted by smiling faces and friendly conversation everywhere we went.

 

                We had a couple of fixed stops on the tour, one of which was a US Aid funded initiative which helps educate and support women of the slum diagnosed with HIV.  We met Pamela and Sarah, two women who singlehandedly ran the facility that coordinated the treatment and therapy of thirty-six women.  They explained their work and the difficulty they have competing for government funding with similar initiatives which actually do very little work in comparison.  It was quite inspiring to see these women, one of whom was on leave from a full-time job in Australia, dedicating so much time to helping others with such limited resources with which to do it.

                Another stop of interest was our last stop, at which our head guide bought us into his home to share a Coke and to chat about what we’d seen.  As one of the expedition members worded it, the tour was a refreshing perspective on humanity.  It is hard to conceive how many complaints and sources of discontent that can be found in our privileged lives, in such vivid contrast to the people we saw today.  I personally was never expecting this to be an experience which gave me a feel-good aftertaste, and yet I left Kibera in a wonderful mood.  It was the perfect way to start our trip, and morale is rocket-high amongst the expedition heading into Day Two.

Day Two 30 December 2011

26268 OCdt (I) Stéphanie Paquette

Karibu!

Dans la langue Swahili, Karibu veut dire “Bienvenu”. Nous en sommes donc venu à la conclusion que le mot qui se prononce tel que “Karibu” est définitivement l’un des meilleurs mots qui soit à cause de ses multiples définitions extraordinaires : il y a d’abord la bière Cariboo, la municipalité de Cariboo en Colombie-Britannique (où le mot Cariboo est tout simplement partout « Caribou Gaz », « Caribou Motel », « Cariboo Boulevard », « Cariboo Club », etc.), la boisson traditionnelle québécoise Caribou (qui consiste en un mélange de vin rouge et d’alcool fort), et finalement quel bel animal! On me pourrait choisir un meilleur mot pour dire “Bienvenu!” KARIBU!

Notre journée du 30 décembre 2011 a donc débuté avec un délicieux déjeuner à notre hôtel. Nous avons donc pu faire le plein sur du pain frais, des fèves, des céréales, des omelettes, des patates sans oublié le meilleur : des fruits frais et du jus fraîchement pressé.

Pour la journée, nous avions un chauffeur nommé Simon qui nous conduisait en matatu (van africaine) à nos multiples activités. Alors que nous nous déplacions, nous écoutions la station « 91.1 Uptown Radio » ou « 911 Radio » qui faisait jouer de la musique africaine de type pop. Alors que nous traversions les différents villages et communautés, nous pouvions apercevoir des mosquées, des églises, des universités, des habitations très différentes les unes des autres dépendamment de la région et les commerces. La végétation était vraiment extraordinaire. Les arbres, les plantes, les fleurs, les cactus étaient de toute sorte de couleur et offraient un spectacle visuel hors de prix. Notre chauffeur a levé le toit du matatu afin de nous permettre de sortir de notre tête à l’extérieur pour mieux admirer le paysage et tout ce qui nous entourait lors de nos déplacements.

Notre première activité a été de visité Mamba Village où nous avons tout d’abord vu des alligators, ensuite des crocodiles, des tortues, divers espèces d’oiseaux, un bébé girafe, des autruches et une chèvre. Certains d’entre nous sont allés dans l’enclos des bébés crocodiles afin des les attraper. Le reste d’entre nous avons pu les prendre ensuite. Nous sommes entrés dans l’enclos des tortues afin de trouver la plus grosses d’entre elles. La plus grosse tortue pesait, en fait, 17 kg et était âgée de 62 ans! Sa carapace avait un diamètre d’environ 50 cm. Nous avons aussi nourrit la girafe, qui était d’ailleurs très amicale, et certains on pu tenter un duel contre la chèvre.

Pour notre deuxième activité, nous sommes allés voir des bébés éléphants orphelins au David Sheldrick Wildlife Trust. Les éléphants sont parmi les animaux qui ont les sentiments les plus près des humains. Ils peuvent s’ennuyer, s’attacher à leur proches et ils peuvent même souffrir de pneumonie ou de dépression. Ces bébés éléphants que nous avons visités aujourd’hui sont récupérés dans la nature alors qu’ils sont en détresse après avoir vu leurs parents mourir, le plus souvent dans d’atroces conditions de souffrance. Le seul moyen de sauver ces bébés éléphants est de remplacer leurs parents. Les personnes qui travaillent au David Sheldrick Wildlife Trust se transforment donc en parent pour ces orphelins. Il nous a été mentionné que les éléphants ont besoin de cet attachement à un point tel que si leur gardien décide de quitter ce travaille, il y a des chances que l’éléphant s’arrête de manger jusqu’à sa mort. Au bout du compte les éléphants qui sont gardé pour un période variant entre 3 et 9 ans sont retournés graduellement à leur habitat naturel.

Après s’être arrêté pour dîner, nous avons visité un magasin de poterie et de billes faites sur place. Nous nous sommes ensuite rendus au « Kenya War Cimetary ». Nous y avons vu les tombes de soldats décédés au combat incluant quelques canadiens.

De retour à l’hôtel, nous avons fait une pratique de montage de tentes et de positionnement pour les photos au sommet du Mont Kilimanjaro. Lorsque nous atteignons le sommet, le temps que nous avons avec le « monument/affiche » du sommet est limité, nous devons donc avoir un plan et préparer le positionnement afin d’utiliser notre temps efficacement (surtout avec un grand groupe) pour prendre les meilleures photos possible.

Nous avons terminé la journée avec une dernière activité. Certaines personnes sont allées faire de l’escalade « boulder » chez une connaissance à Nairobi et d’autre sont allés faire l’expérience d’un marché. Nous nous sommes tous rencontré chez Chris Matlock, notre contact et oncle d’Élof Anthony Matlock, pour un BBQ. La nourriture était sans aucun doute vraiment excellente et préparée avec amour. Quelques jeux étaient organisés. En sommes, une journée bien remplie et mémorable.

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